NOM(S) ▬ Hawkins-Scott.
PRÉNOM(S) ▬ Rosemary Harriett, mais elle préfère se faire appeler Romey.
DATE & LIEU DE NAISSANCE ▬ Quatorze janvier mille neuf cent quatre vingt-douze à Londres, Angleterre.
ÂGE ▬ Dix-neuf ans.
NATIONALITÉ ▬ Anglaise à cent pour cent.
GROUPE ▬ We don't want to be here.
AVATAR ▬ Gemma Arterton.

YOU & BEING HERE •
Pourquoi je suis ici ? Comme-ci vous ne saviez pas que mes très géniteurs, ceux qui se disent être mes parents m'ont envoyer ici tout simplement à cause de mon caractère. Je ne suis pas si exécrable que cela. Après tout, je poursuis bien des études de médecine, non ? Bon d'accord, j'adore faire la fête, faire des dépenses et je ne pense très souvent qu'à moi, mais ce n'est pas un crime ? N'est-ce pas ?

YOU & WHO YOU ARE•
La première chose que l'on dit de moi, c'est que je suis quelqu'un de très tolérante et ouverte, je pense que c'est vrai. Surtout quand il s'agit de mode. Je n'aime pas trop la discrimination et quand quelque chose de nouveau se présente à moi, ma curiosité prend le dessus. Je vous dit pas le domaine qui fait le plus ressortir ces côtés de mon caractère, je pense que vous vous en doutez. Il paraît que je suis très secrète par rapport à ce que je peux ressentir et que je ne suis pas du genre à me confier comme cela. Il faut que j'ai confiance en la personne et cela est très rare pour moi de la donner. Dans ma sphère sociale, les coups bas c'est plus que monnaie courant. Je suis très, même un peu trop aux yeux de beaucoup, dépensière. Mes parents me donnent de l'argent, ce n'est sûrement pas pour que je le laisse tranquillement dans mon portefeuille en train de prendre la poussière. Je suis quelqu'un de très rancunière aussi, quand j'en veux à quelqu'un, je ne tourne pas autour du pot pendant des heures et je lui dit clairement. A quoi bon faire semblant ? Rien, mais ma franchise me perdra certainement un jour. Nombriliste, c'est l'un de mes grands défauts, je me fait toujours passer avant les autres. Il paraît que je suis aussi légèrement m'en foutiste et que ce qui se passe autour de moi ne m'intéresse jamais. Même les choses graves. Je veux dire, quand il y a un tremblement de terre à l'autre bout du monde, c'est terrible, mais en quoi cela doit-il m'affecter d'une quelconque manière ? Je ne sais pas. Pourtant, je ne suis pas sans cœur et pour faire plus fleur bleue que moi, impossible. A mon âge, je pleure encore devant le Roi Lion ou encore Bambi. Cela me vaux très souvent de me faire charrier par mes "amies". Je m'inquiète aussi un peu de l'avis des autres, il faut toujours que je sache ce que l'on pense de moi. C'est bizarre, mais c'est vital pour moi.

YOU & THE MIRROR REFLECTION •
Je suis jolie, n'est-ce pas ? On ne peux tout simplement ne pas dire le contraire, je suis au dessus de la moyenne. Je conçois que je peux croiser une jeune fille à la beauté supérieure à la mienne, mais je n'ai certainement pas à me plaindre. Après tout, il y a pire que moi. Beaucoup me disent que j'ai énormément pris de ma mère, que ce soit la couleur de mes cheveux ou encore mon regard de biche. Il paraît que c'est atout indiscutable de mon charme. Comme-ci il n'y avait que cela. Mes cheveux, je n'y prête jamais vraiment attention, même si j'en prends soin, mais je suis fière d'être brune. Croyez-moi, ce ne doit pas être marrant tout les jours d'être blonde. Sinon, mon visage est plutôt fin et mes traits harmonieux. Pour ce qui est de ma taille, c'est du côté maternel que j'ai été piocher les gênes, me faisant pas très grande. Au fond, cela ne me dérange pas le moins du monde, je m'aime comme je suis. Niveau corpulence, j'ai de la chance d'avoir un très bon métabolisme et ne pas prendre trop de poids, mais cela ne m'empêche pas de faire un peu de sport. Sinon pour ce qui est de mon style vestimentaire, cela dépend de mon humeur. Je peux être très décontractée ou alors plus recherchée, allant jusqu'à me pousser à suivre la mode d'une certaine décennie. Je suis très portée sur les années vingt, voir trente. La mode a cette époque était tout simplement sublime.

YOU & THE OTHERS •
Avec mes parents, mes relations sont assez difficiles et cela depuis mon plus jeune âge. Mon père, Steve, est un compositeur très reconnu dans le monde du cinéma et il n'était que très rarement présent pendant mon enfance. Je m'en souviens que comme d'un courant d'air et d'un homme qui était toujours presser de repartir. Loreleï, ma mère, a été mannequin jusqu'à ce qu'elle apprenne ma prochaine venue au monde, autant dire que je suis un peu la cause de l'arrêt de sa carrière. Je crois qu'elle m'en a toujours un peu voulu pour cela. Elle me dit toujours que même si elle n'était pas très grande, elle aurait pu devenir connu dans le monde entier. Cela était presque le cas, puis je suis arriver. J'étais entre les mains d'une gouvernante, jusqu'à mon troisième anniversaires approximativement et ce jour où j'ai failli perdre la vie. Je prenais mon bain, comme tout les soirs, mais Gloria qui était à mes côtés à été appeler à faire autre chose. Ce qu'il s'est passer ensuite, personne ne le sais, moi-même étant trop jeune pour m'en souvenir, mais en revenant elle m'a découverte en train de me noyer. Je ne respirais plus que faiblement quand elle m'a sortie et heureusement que la caserne de pompier n'était pas loin et qu'elle avait quelques notions de secourisme. Sinon je ne serais plus de ce monde. Enfin, depuis ce jour, ma mère a toujours fait en sorte de passer plus de temps avec moi, devenant presque étouffante. Quand à mon père, il a essayer d'être plus présent, surtout pendant mon adolescence où j'ai commencer à le haïr férocement. .

we don't exactly all living la vida loca, don't we?

« Papa, je veux cette poupée...» « Maman, achète-moi cette robe.» « Ces chaussures, je les veux pour mon anniversaire.» « Je veux que mon seizième anniversaires soit inoubliable, pour cela il faut absolument qu'il se déroule au Hilton London Hôtel.» Bon, je pense qu'en général, vous avez compris où je veux en venir, j'obtiens ce dont j'ai envie et cela sans problèmes depuis mon plus jeune âge. Est-ce que c'est quelque chose d'appréciable ? Oh que oui, mais cela m'a amener aussi un bon nombre d'emmerdes. C'est facile d'obtenir, mais une fois que les parents ont décidés de mettre un terme à nos demandes, qu'ils prennent pour des caprices, on se retrouve totalement démuni. Perdu, complètement. Quand je suis née, ma mère a du mettre un terme à sa carrière de mannequin et mon père a continuer sa vie comme-ci de rien n'était. Je n'étais que la continuité des choses pour eux, enfin, c'est ce que je pense. Il y avait quatre ans qu'ils étaient en couple, mais ils ne pensaient pas au mariage et je ne pense pas qu'ils est vraiment eu envie de passer par cette formalité. La preuve, au jour d'aujourd'hui ils vivent encore en concubinage. J'ai donc grandi dans une ambiance un peu bohème, même si je n'ai jamais manquer de rien. Mon éducation a été mise entre les mains d'une femme au caractère dur, mais qui savait tout de même se montrer douce. Il faut dire qu'entre leur métier respectif, mes parents n'avaient pas vraiment le temps de s'occuper de moi. Je voyais tout de même plus souvent ma génitrice que mon père, qui était un véritable courant d'air. Les choses ont légèrement changer peu après un accident qui a failli me coûter la vie, je n'avais que trois ans. Ce jour-là, je prenais mon bain comme tout les soirs, mais ma gouvernante a du me laisser seule quelques secondes, en revenant je ne respirais pratiquement plus. Cela a du les marquer, la culpabilité à du prendre le dessus et voilà comment j'ai commencer à obtenir ce que je voulais. Une vie dorée, loin des problèmes que la vie pouvait donner aux autres. Je ne pensais qu'à moi. C'est aussi les mauvais côtés d'un enfant unique, enfin je le pense. Si j'avais eu un frère ou encore une sœur, je pense que j'aurais été un peu moins centrer sur moi-même.

Mon entrée à l'école n'a pas changer grand chose, établissement privée, j'étais donc accompagnée de jeunes enfants tout aussi riche que moi ou presque. Cela n'a pas réellement aider mon égo, surtout quand j'ai grandi. La concurrence était rude, très même, pire que dans le public, mais je crois que personne ne pense que cela puisse se dérouler de cette manière. Chacun essaie d'être le meilleur, allant même jusqu'à faire des coups bas à ses meilleurs amis, c'est pour cela que je suis devenue méfiante avec les années. C'est la loi du plus fort et personne ne fait de cadeaux. Je ne peux pas dire que j'étais la meilleure des élèves, mais je me défendait plutôt bien, surtout pour ce qui était des sciences.